Depuis l’avènement des technologies numériques au début des années 1990, le traitement de la bande sonore destinée à l’image a fait l’objet de nombreuses transformations. En particulier, la traditionnelle séparation entre la musique et le design sonore se trouve remise en question.
Le colloque Musique et design sonore dans les productions audiovisuelles contemporaines, organisé par Grégoire Tosser et Chloé Huvet, les 2 et 3 décembre, place la dimension sonore au cœur de la réflexion, dans une approche globale et « intégrative » des bandes son pour l’image.
Retrouvez le programme de ce colloque et, ci-dessous, une sélection de documents disponibles à la bibliothèque universitaire ainsi qu'une brève bibliographie.
Une légende de la danse emportée par une maladie foudroyante à l’âge de 61 ans !
Né le 14 mars 1959, Patrick Dupond devient en 1980 une étoile de l’Opéra national de Paris et rencontre un remarquable succès international. Il danse pour Rudolf Noureev, Maurice Béjart, Roland Petit ou encore John Neumeier. En 1990, il est nommé directeur de la danse du ballet de l’Opéra national de Paris durant 5 ans. Son « insoumission et son indiscipline », selon ses mots, entraînent son licenciement en 1995. Il participe à plusieurs émissions télévisées par la suite (Prodiges, Danse avec les stars) tout en continuant à se produire sur scène. Son décès, le 5 mars 2021, suscite de nombreux hommages saluant un danseur virtuose, au tempérament fascinant et populaire, qui a beaucoup compté dans l’univers de la danse.
La BU vous propose quelques ressources en son honneur.
Crédit Photo : Pascal George - AFP/Archives
1979, "Un Dupond à l'Opéra, ce n'est pas possible !"
Tout danseur rêve de faire partie des étoiles de l’Opéra de Paris. Patrick Dupond l’a réalisé à la fin des années 1970. Sa personnalité originale et son génie ont fait de lui une graine d’étoile. L'INA retrace, dans cette vidéo, le portrait d’un « Dupond » hors du commun.
Le Maestro Ennio Morricone s’est éteint le 6 juillet 2020 à Rome, sa ville de cœur qu’il n’a jamais voulu quitter, même pour Hollywood. Sa composition artistique, mélancolique, avant-gardiste, populaire, sophistiquée est ancrée dans l’Histoire. Qui n’a pas sifflé sur « Et pour quelques dollars de plus », entendu les cris de coyote dans « Le Bon, la Brute et le Truand », joué un air d’harmonica dans « Il était une fois dans l’Ouest », frissonné en écoutant « Chi Mai ». Il ne s’agit là que de quelques exemples parmi tant de souvenirs cinéphiles. Si sa collaboration avec le réalisateur Sergio Leone lui a apporté la gloire et la reconnaissance internationale, le compositeur regrette que son travail ne se résume qu’à cette création cinématographique de près de 500 musiques de films. Son œuvre est en réalité encore plus prolifique.
Trompettiste de formation, il étudie l’orgue, l’orchestration, la composition. Il compose ses premières œuvres très jeune s’inspirant de la musique classique. La guitare électrique, la flûte de pan, le sifflet, la cloche, les bruits d’animaux… sont des instruments et des sons qu’il exploite, le tout accompagné par un traditionnel orchestre symphonique. Il a composé un nombre important de pièces de musique de chambre et pour orchestre, sa "musica assoluta" ainsi qu’il la nommait lui-même. Chef d’orchestre, il a entamé en 2001 une tournée mondiale de concerts revisitant son œuvre.
Le département Arts et Musique de l’Université d’Evry organise le colloque « Et pour quelques notes de plus… Hommage à Ennio Morricone (1928-2020) » du 22 au 23 mars 2021 en son honneur.
A cette occasion, la bibliothèque propose une sélection de ressources autour du compositeur italien, de son œuvre et invite à visionner quelques films dont il a composé la musique.
Découvrez "Ennio Morricone, Sergio Leone : une des collaborations les plus mythiques du cinéma" proposé par France Musique et qui revient sur la plus fructueuse collaboration entre le réalisateur et le compositeur à travers huit films.
Evadez-vous avec ses plus grandes compositions sur nos plateformes musicales :
Rendez-vous aussi sur Philharmonie de Paris à la demande, pour écouter des extraits de musiques composées par Ennio Morricone et le concert "Musique et cinéma : de Nino Rota à Ennio Morricone".
Visionnez quelques films disponibles à la BU dont il a composé la musique :
Parmi les victimes de la pandémie, se trouvent évidemment des musiciens. En guise d’hommage, retrouvez sur cette page une sélection de quelques personnalités disparues et des vidéos à regarder et surtout écouter.
Manu Dibango, artiste multiple, laisse derrière lui soixante années de carrière et d’engagements, sans pause ni éclipse. Saxophoniste au son identifiable dès les premières mesures, il savait aussi être pianiste, vibraphoniste, joueur de marimba, pouvait jouer de la mandoline et, récemment, du balafon. Il était également chanteur, arrangeur et chef d’orchestre.
Surnommé le Mark Twain des paroliers, John Prine est une légende de la folk américaine. Son oeuvre oscille entre la protest song et la ballade raffinée, mélancolique ou surréaliste.
Considéré comme l'un des principaux représentants du style appelé Canto Nuevo au Mexique, Oscar Chavez accompagne le mouvement étudiant mexicain de 1968 et l'Armée zapatiste de libération nationale dans les années 1990. Tout au long de sa carrière, il n'a jamais renoncé à son engagement politique.
Aurlus Mabélé aspire à dynamiser la rumba congolaise. Il en modernise les sonorités, en accélère le rythme : le soukouss est né et Aurlus Mabélé en devient le maître incontesté.
Grande voix de l’opéra, Luigi Roni fait ses débuts, très jeune, dans Faust , où il interprète Méphistophélès. Pendant sa longue carrière, il foule les planches des plus importantes scènes mondiales, de la Scala de Milan au Metropolitan Opera de New York, en passant par l'Opéra de Paris. Il avait également fondé en 2002 un festival d'été itinérant, Il Serchio delle muse.
Musicien accompli, Dave Greenfield rejoint en 1975 les Stranglers, formés un an plus tôt. Il apporte aux morceaux du groupe punk une complexité et une profondeur mystérieuse et sombre. Au fil des ans, le groupe évoluera du punk vers le post-punk, la new-wave puis le pop-rock. En 1982, Dave Greenfield compose leur chanson la plus connue, Golden Brown.
Le trompettiste Wallace Roney est considéré comme l’héritier de son mentor, Miles Davis. Au fil du temps, il s’affirme comme une figure importante du post-bop. Il explore par ailleurs de nombreux territoires musicaux, comme la free, la fusion…
Cheffe de chœur et d’orchestre brésilienne renommée, Naomi Munakata dirige l'OSESP, la chorale de l'orchestre symphonique de l'État de São Paulo de 1995 à 2013. Elle devient ensuite cheffe de chœur de la chorale Paulistano Mário de Andrade du théâtre municipal de São Paulo. Elle enseigne à la faculté Santa Marcelina et à la faculté de Artes Alcântara Machado.
Itinéraire d’un acteur gâté !
En soixante ans de carrière, plus de quatre-vingt films et une trentaine de pièces de théâtre, cette légende du cinéma français s'est imposé comme le "Magnifique" dans le cœur des Français. Admis au Conservatoire d'art dramatique en 1952, il commence par jouer au théâtre puis au cinéma sous la direction de Marc Allégret en 1958. C'est avec Jean-Luc Godard, qui le fait tourner dans A bout de souffle sorti en 1960, qu'il connaît la consécration. Avec sa double casquette d’acteur-cascadeur, il est adulé par certains, critiqué par d’autres. “Pour l’intelligentsia parisienne, je ne savais plus jouer la comédie : j’étais devenu un cascadeur (...) Si je les faisais (les cascades), c’était parce que ça m’amusait ! Si je me pendais sous des hélicoptères, c’est parce que je n’ai pas le vertige. Le cinéma m’a donné l’occasion de faire des choses que je n’aurais jamais faites”. Intrépide et athlète accompli, il ne voulait pas tricher. Des films d’action au cinéma d’auteur, il s’est imposé sérieusement sans se prendre au sérieux en tournant avec les plus grands réalisateurs : de Godard à Klapisch, en passant par Lautner, Audiard, Oury, Verneuil et tant d’autres. Sa légendaire gouaille a inspiré les plus belles plumes pour lui offrir des répliques ciselées, devenues cultes.
Acteur d’exception, il a influencé de nombreux artistes, à l’instar de Jean Dujardin qui a repris quelques attitudes dans son personnage d’Oss 117. Mais aussi le DJ Bob Sinclar, qui repris le nom du personnage de Belmondo dans le film Le Magnifique. Son visage a aussi servi d’inspiration à Jean Giraud (connu sous le pseudo de Moebius) pour dessiner le héros dans son roman graphique Blueberry. Bebel prêtera aussi ses traits à des personnages de manga comme Lupin III ou Cobra.
Le 9 septembre, un hommage national lui a été rendu aux Invalides.
Retour sur quelques répliques cultes :
"Veinarde, va ! Tu m'as choisi parce que je suis beau, et crac ! V'là qu'en plus c'est un cerveau, le mec." Cent mille dollars au soleil (1964)
"Quand les types de 130 kilos disent certaines choses, ceux de 60 kilos les écoutent." Cent mille dollars au soleil (1964)
"Une paella sans coquillage, c'est comme un gigot sans ail, un escroc sans rosette : quelque chose qui déplaît à Dieu !" Un singe en hiver (1962)
"Si vous n'aimez pas la mer, si vous n'aimez pas la montagne, si vous n'aimez pas la ville... allez vous faire foutre !" À bout de souffle (1960)
"Monsieur Hénault, si la connerie n’est pas remboursée par les assurances sociales, vous finirez sur la paille." Un singe en hiver (1962)
Source image : magazine See-mag (https://see-mag.fr/see-rewind/belmondo-le-magnifique/)
Découvrez ou redécouvrez l'acteur à travers une petite sélection de films disponibles au 1er étage de la BU, espace de la vidéothèque et de pièces de théâtre accessibles au rez-de-chaussée.
Le département Arts et Musique de l'université d'Evry organise le colloque « Les arts plastiques et la musique au prisme du cinéma : penser l’hybridité » les 15 et 16 avril.
Dès le début du XXe siècle, de nombreux écrits ont affirmé la nature syncrétique du cinéma, alors synonyme de modernité. Les années 1920, en particulier, furent marquées par la publication d’essais rapprochant, ou au contraire distinguant, le cinéma des autres arts. Alors qu’il a été considéré par les uns comme la forme artistique la plus complète, d’autres ont interprété son hybridité comme un échec à fonder sa propre esthétique. Toujours est-il qu’à l’âge du numérique, le cinéma n’a rien perdu de sa ductilité, même s’il est devenu un système de représentation minoritaire, selon les analyses de Jean-Michel Frodon.
Grâce à un double point de vue sur le grand écran, comme art façonné par les autres mais aussi façonnant, ce colloque interroge la plasticité du septième art des origines de ce médium jusqu’à nos jours. En adoptant un point de vue transdisciplinaire, la réflexion porte sur des pratiques artistiques hybrides (entre cinéma et musique ou arts plastiques) au sein d’un univers médiatique nécessairement pluriel.
Consultez le programme du colloque.
La BU vous propose une sélection de ressources pour approfondir la réflexion autour des thématiques balayées durant ces deux jours : Musicalité cinématographique, musicalité des corps, cinéma et musique de films, arts plastiques et picturalité cinématographique.
Le laboratoire RASM, de l’Université d’Evry, est partenaire du colloque international « Errances et angoisses du troisième type : à l’écoute des bandes-son de science-fiction », organisé par Cécile Carayol et Chloé Huvet à l’Université de Rouen (Maison de l’Université) du 27 au 29 septembre 2021. Ce colloque entend fédérer des chercheurs de différentes disciplines autour de la création musicale et sonore dans les productions audiovisuelles de science-fiction. A travers une pluralité d’approches et de méthodes, il interroge la représentation de la solitude et de l’errance de l’être humain confronté à des forces supérieures sous un angle musical et sonore. Il traite des entités organiques, de machinations gouvernementales prenant souvent place dans des univers totalitaires ou dystopiques, de manifestations climatiques extrêmes ou des profondeurs du cosmos. Dans les films de science-fiction, la poésie visuelle et l’expression du spectaculaire s’entremêlent, la bande sonore illustre une humanité altérée, accentuant les problématiques familiales et psychiques, amenant les personnages à commettre l’irréparable, à errer seuls, à sombrer.
Consultez le programme complet.
Dans le prolongement de cette manifestation, la BU vous propose une sélection de ressources qui analysent la musique dans les œuvres majeures du cinéma fantastique, le cinéma et le son, l'histoire de la musique au cinéma, l'histoire du cinéma de science fiction. Quelques errances filmiques sont aussi présentées avec des films évoqués dans ce colloque. Enfin, une immersion dans cet univers est possible sur la toile avec une sélection de vidéos, de podcast et de lectures sur ces thématiques.
Que nous révèlent les génériques de films de science-fiction ? Le réalisateur Alexandre Tylski répond à cette question avec en fond sonore de célèbres musiques de films !
Plongez dans l'étrangeté musicale avec la série Les étranges sons de la science-fiction, épisode 4, de l'émission Faire genre : musique et cinéma diffusé sur France Culture en 2018.
Le cinéma de science-fiction bouleverse les repères entremêlant images, robots menaçants, planètes étranges, aliens hostiles, paysages post apocalyptiques... Le son doit apporter l'étrangeté de la rencontre.
France musique propose une immersion dans le cosmos avec son émission Bienvenue dans l'Espace et sa série de podcasts Science-fiction, avec Jerry Goldsmith, Gustav Holst et Michael Nyman, animé par Olivier Le Borgne et diffusé en 2014.
Les bandes originales de grands films de science fiction sont décryptées par les intervenants.
Présentation du colloque international organisé par Cécile Carayol et Chloé Huvet à l’Université de Rouen.
L’auteur apporte une analyse sur la bande originale du film Dune de Denis Villeneuve. Ce film offre une plongée dans une quête spirituelle à l’environnement grandiose et la musique de Hans Zimmer joue un rôle fondamental dans cette ambiance.
"L’américanisation est un terme largement employé au XXe siècle pour décrire l’influence alors exercée par les Etats-Unis sur la vie des citoyens d’autres pays du monde, cette influence propageant tout ou partie des caractéristiques de la culture américaine avec la société de consommation." (source Wikipedia)
Co-dirigé par Martin Guerpin (Université d'Évry), Anaïs Fléchet (Université de Versailles-Saint-Quentin-en-Yvelines), Catherine Rudent (Université Sorbonne Nouvelle) et Philippe Gumplowicz (Université d'Évry), le séminaire Transatlantic Cultures avec Américanisation par les arts a eu lieu le 11 février 2022 à l’Institut National d’Histoire de l’Art (INHA). Les processus d’américanisation sont souvent peu analysés. Ont-ils touché tous les arts (la musique, le théâtre, la danse, le cinéma, les arts plastiques, etc.) avec la même intensité ? Comment les modèles américains ont-ils été adoptés et adaptés par les artistes français ?
Manon Fabre (ENS, CNSMDP, EHESS) et Pierre Fargeton (Université Jean-Monnet, Saint-Étienne, Laboratoire IHRIM), lors de ce séminaire, se sont interrogés sur l’américanisation par les arts à travers la place singulière de l’orchestre Ray Ventura et ses collégiens dans l’entre-deux-guerres et l’évolution de sa politique discographique.
Pour prolonger la réflexion, la BU vous propose une immersion à travers les arts sous influence américaine.
La 5ème édition du Festival de performances éphémères et durables Si (non) oui a lieu du 20 au 24 septembre à l'Université d'Evry. A cette occasion, un temps fort est proposé sur son campus à l'initiative du Collectif pour la culture en Essonne. La performance est devenue l’une des formes incontournables de notre époque, elle ouvre de nouvelles voies d’expression. Elle se définit par une action réalisée par une ou plusieurs personnes et éveille des émotions sensorielles grâce au corps et à la psychologie humaine. Elle est née dans le courant du XXe siècle en Europe, puis aux Etats-Unis, au sein des mouvements futuristes, dadaïstes et surréalistes.
L’accès du plus grand nombre à la culture, aux œuvres et aux pratiques artistiques et culturelles est un des enjeux de l'enseignement supérieur et de l’Université d’Evry. L’ouverture à l’art et à la culture est le moyen de s’ouvrir aux autres en vivant des expériences sensibles qui participent à l’émancipation des étudiants, à leur formation citoyenne, et à rendre la société plus inclusive. Ainsi, des artistes aux histoires, aux expériences et aux horizons divers viennent rythmer le quotidien des étudiants pendant cette semaine de festivités.
Accédez au programme et partez à la découverte de la danse, du théâtre, de la musique et des arts numériques.
Dans le prolongement de cette manifestation, la BU vous propose une sélection de ressources autour de l'art de la performance, du spectacle vivant à la musique, en passant par l'art performatif dans la ville. Découvrez aussi quelques ressources en ligne des performeurs qui interviendront lors du festival à l'Université d'Evry.
Performance musicale de Olivier Goulet avec Petite carte.
Performance scènique avec Que du bonheur (?) de Tomeo Vergés.
Le mardi 11 février, de 9h30 à 18h00 dans l'amphi audio, le département Musique organise une journée d'études consacrée à Björk.
A l'occasion de cette journée, retrouvez ici une sélection d'ouvrages disponibles à la BU.
Depuis son premier album solo, Debut, en 1993 jusqu’à Utopia en 2017, Björk expérimente, se renouvelle constamment et joue de sa voix exceptionnelle.
Artiste pluridisciplinaire, Björk est actrice sous la direction de Matthew Barney et Lars Von Trier et crée des vidéoclips en collaboration avec Michel Gondry, Spike Jonze ou Michel Ocelot.
Le clip Bachelorette réalisé par Michel Gondry a contribué en partie à populariser cette chanson et a remporté le prix de la meilleure direction artistique lors des MTV Music Video Awards en 1998.
Avec une œuvre riche de nombreuses disciplines artistiques, Björk est considérée comme une artiste totale. Ci-dessous, une sélection d’ouvrages sur ce thème.
La musique de Björk est un patchwork de nombreux styles. Inscrite dès son plus jeune âge en école de musique, elle découvre les grands compositeurs classiques. Adolescente, elle fait partie de plusieurs groupes aux influences jazz ou punk. Sa carrière solo est marquée par l’influence de la musique électro, le mélange des genres et les collaborations avec d’autres artistes.
Jusqu'aux années 2000, Björk reste discrète sur ses opinions politiques. C’est à partir de l’album Medulla qu’elle exprime ses idées ouvertement, tenant un discours engagé pour la paix, le féminisme et l’écologie.
Pour aller plus loin sur l'engagement des artistes, un ouvrage d' Elsa Grassy et Jedediah Sklower à lire en ligne ou à emprunter à la BU.
Dans le cadre de la Semaine d'éducation et d'actions contre le racisme et l'antisémitisme, a lieu à l'UEVE (bâtiment Maupertuis, amphi 300) le 18 mars 2020 de 9h à 12h30 la 3ème journée mémoire : discriminations, racisme, antisémitisme et génocide(s).
Au programme :
- 9h : projection du documentaire La SNCF sous l’occupation, suivie à 10h15 d'un débat en présence de la réalisatrice Catherine Bernstein et de l'historien de la Résistance Laurent Douzon, animé par Olivier Le Cour Grandmaison et Yann Jurovics, enseignants de l'UEVE.
- 11h : témoignage de Jeanne Allaire, rescapée du génocide des Tutsi (1994), membre de l'association Ibuka ("Souviens-toi").
► Visitez du 17 mars au 8 avril 2020 l'exposition Rwanda, mémoire d'un génocide, à partir des textes et photographies de Michel Bührer.
► L'article Enseigner la Shoah : une mission impossible ? d'Olivier Le Cour Grandmaison dans The conversation introduit la manifestation. Retrouvez ses autres publications disponibles à la BU.
► Retrouvez dans les guides d'histoire et de littérature une sélection de documents.
► Nous vous proposons un choix de films sur les génocides du XXe siècle.