Droit, sciences politiquesNos nouveautés

Ces contributions dressent un état des lieux du nouveau Code de la justice pénale des mineurs qui est entré en vigueur le 30 septembre 2021. Les intervenants esquissent des pistes relatives à l'application des nouvelles dispositions. (Source Électre)

Le développement des applications du numérique s'accompagne de multiples questions auxquelles les juristes s'efforcent de répondre. Des chercheurs et des praticiens offrent une réflexion sur les dimensions techniques, éthiques, philosophiques et juridiques des nouvelles technologies, croisant leurs regards dans l'objectif d'anticiper, par l'étude de l'état actuel du droit, les enjeux à venir. (Source Électre)

Issues d'un colloque, des contributions autour de la déontologie et de la transparence appliquées au Conseil constitutionnel, organe étatique relativement épargné par ce mouvement. Elles pointent notamment les difficultés que soulèvent sa composition, son organisation et son fonctionnement vis-à-vis de ces deux facteurs. (Source Électre)

Recueil de contributions analysant les nouvelles modalités de mise en œuvre des prestations de services publics à partir d'études de cas dans différents secteurs (collectivités territoriales, préfectures, hôpitaux, caisses d'allocations familiales, Pôle emploi, enseignement supérieur). Les contributeurs réfléchissent également à la signification du terme usager. (Source Électre)

Résultat d’un découpage arbitraire fait par les Britanniques en 1921 à la suite du démantèlement de l’Empire ottoman, l’Irak s’est construit sans socle politique partagé ni projets communs. Le pays souffre d’une corruption généralisée, des ingérences de l’institution religieuse et d’une injustice sociale profonde. Adel Bakawan ne peut que constater que son pays se trouve aujourd’hui au bord de l’implosion.

Les contributions de ce colloque s’interrogent sur les transformations induites par le big data dans le domaine juridique, qu'il s'agisse du conseil juridique, de la production normative ou de l'activité de juger.

Analyse des relations internationales selon leurs enjeux pétroliers. L'auteur a établi un cadre herméneutique à ses recherches, refusant tout déterminisme, établissant que les parties n'ont pas conscience de la stratification des enjeux au cours d'un conflit, s'attachant à la notion d'effet pervers ou encore à déterminer l'objectif d'une guerre pétrolière. De nombreux exemples étayent son propos. (Source Électre)

Ce numéro spécial de Confluences Méditerranée est consacré à l’Irak. Né en 1921, ce pays souffre depuis toujours d’un manque de cohésion entre les différentes minorités. Il a connu de nombreuses crises politiques, des massacres dans les années 1920 et la guerre en 2003.

La laïcité est au cœur de l’identité française. Pourtant, la majorité des citoyens est incapable de la définir. Patrick Weil s’attache à en proposer une description fondée sur le droit et l’histoire. Son but est l’appropriation de ce concept par le plus grand nombre afin d’en assurer une défense légitime et efficace.

À travers le récit du combat de Liseby Elysé, chassée de l'archipel des Chagos par les Britanniques dans les années 1960, pour retourner sur son île natale, l'auteur met en lumière la persistance de la domination de la Grande-Bretagne sur ce territoire, les actes racistes perpétrés contre les Chagociens et le long cheminement du droit international pour que soit jugé ce crime contre l'humanité. (Source Électre)

Réflexion sur l'écologie politique des partis d'extrême droite qui tendent à nier les impacts et les enjeux liés au changement climatique. (Source Électre)

Dans cet essai, l'auteur met en lumière l'ensemble des obstacles inhérents aux relations internationales en s'appuyant sur des exemples historiques. Dressant des parallèles entre histoire et actualité, il détaille les choix diplomatiques et leurs conséquences. (Source Électre)

Essai de définition de la notion d'extrémisme afin de dépasser les réactions passionnelles et les réflexes idéologiques. Le politologue détermine trois composantes indissociables pour rendre opératoire cette catégorisation : la légitimation de la violence comme résolution des problèmes politiques, l'intolérance ainsi que le sectarisme et le fanatisme. (Source Électre)